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ISBN 978-2-490956-06-7

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Image parandreas160578 de Pixabay

Hellfire Club : Société Secrète

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Un avant-goût de bacchanale

 

 

Rose, de ses doigts fins, remontait ses bas de soie blancs. Samantha et Amélia riaient. Big Ben sonnait l’heure du souper lorsqu’elles prenaient place dans l’hippomobile pour rejoindre Sir Francis Dashwood à Wycombe. Les deux petites lanternes du fiacre perçaient l’obscurité de la campagne anglaise. Hormis quelques bâtisses lugubres disséminées le long du chemin, il n’existait rien.

Les seins fermes et généreux de Samantha, mis en évidence par un corset serré, se trouvaient secoués par le chemin cahoteux. Son décolleté profond rendait les hommes gourmands et beaucoup prenaient plaisir à y frotter leur verge, dans une masturbation dite à l’espagnole. Amélia, plus menue, proposait de larges hanches et des fesses tendres, où les mâles aimaient à s’accrocher fermement pendant le coït. Toutes trois s’habillaient de blanc, dans un état d’esprit de vierges effarouchées.

 

L’auberge “George et le Dragon” ressemblait à beaucoup d’autres avec ses murs de chaume blanchis, ses poutres apparentes noircies par un feu ronflant dans l’âtre et son allée pavée pleine d’ornières. Le vieil édifice penché par l’usure des années sur sa maçonnerie ne présentait que peu d’intérêt pour les habitants du hameau, hormis sa bière âpre. Rose poussa la porte branlante, son grincement fit cesser les discussions qui animaient le comptoir. Entrant la première, seule la fumée des pipes et des chandelles l’accueillait avec bienveillance, car les regards interrogateurs se tournaient vers elle en la dévisageant. Se déplaçant en attirant des yeux avides, la demoiselle prit place à une table couverte de miette, rapidement rejointe par Samantha et Amélia. Leur visage perdait de cette bonne humeur du voyage en voyant la pièce.

Baissant la tête sous leur châle à capuche, elles ressemblaient toutes trois à des sorcières venues au milieu des hommes pour assouvir quelques appétits féroces. L’entrée de Dashwood mit un terme au malaise. Le silence se rompait devant les discussions animées et le tintement des verres.

— Vous voici toutes arrivées, ne perdons pas de temps, car nos invités nous attendent.

— Avant toute chose, je vous demanderais en quoi consiste votre invitation !

Rose connaissait les mœurs du “Dilettanti” et du “Club Divan” qui n’étaient que fantasmes, débauches et coups de fouet. Sir Francis Dashwood et ses 12 apôtres laissaient leur appétit sexuel s’épanouir en ces lieux en des pratiques délurées et orgiaques. Tout ceci au milieu de cérémonies secrètes, qui avait pour seul maître le diable.

— Je ne vous voyais pas comme une femme effarouchée à l’idée de pratiquer l’acte sexuel avec de multiples amants et amantes, mais vous pouvez encore renoncer à me suivre.

Samantha, licencieuse, à la sexualité débridée, qui s’honorait du titre de “la meilleure coquine en matière de fellation”, et qui appréciait d’autant être prise en levrette que d’être sodomisée, ne put s’empêcher de lui répondre.

— Personnellement, j’ai une sexualité sans limites, je pourrais même m’occuper de votre verge immédiatement.

Elle se leva, se mit à genou devant lui. D’une main habile, Samantha dégrafa le pantalon de Dashwood, qui était pour le moins déjà en érection, et introduisit son sexe dans sa bouche. Jouant avec sa langue, elle lui tirait une respiration haletante. Accélérant le va-et-vient sur son sexe tout en exerçant une succion plus ferme, Dashwood ne put retenir son sperme qui se déposait sur sa langue et coulait de ses lèvres qui encerclaient toujours son membre. Quand elle en eut fini, elle s’essuya avec un petit mouchoir en coton et se rassit face à lui. Rose le regardait droit dans les yeux.

— Vous disiez Monsieur ? Cette réponse convient-elle à votre personne, où dois-je m’employer à vous convaincre ?

— Puisque vous souhaitez me convaincre, je ne pourrais vous le refuser !

— Faudrait-il encore que votre verge soit dure ! Et à en croire ce que je vois, de votre mollesse je ne tirerais rien !

Rose se redressa de sa chaise, et leva petit à petit sa toge blanche pour lui dévoiler ses cuisses enveloppées de bas de soie. Dashwood se retrouvait enchaîné à ses jambes. Remontant encore, il commençait à entrevoir “l’origine du Monde”, et son pubis lisse.

— Des mois que je souhaite vous prendre, et vous vous proposez enfin à moi.

— Jamais votre sexe ne viendra se glisser en moi.

La demoiselle jouait avec ses doigts. Son corps dansait sous le plaisir qui montait de son sexe. Dashwood pouvait sentir ses reins se tordre par le désir. Plus Rose, s’extasiait de délice avec son majeur, plus la lubricité perverse et brutale naissait en lui. Il se leva d’un bond, prit d’une soudaine et extrême raideur, faisant basculer son siège. Dashwood lui attrapa le bras, et l’emmena dans un coin sombre de l’auberge, hors du regard de tous. Rose se refusait à lui. Samantha et Amélia pouvaient l’entendre vociférer à voix basse contre lui. Mais bientôt, les réticences se turent. Et montèrent du plus profond des silences, de petits râles.

Rose allongée sur le ventre sentait le sexe la pénétrer sauvagement. Dashwood lui tenait les mains dans le dos pour éviter qu’elle ne se débatte et finalement relâcha son étreinte. S’agrippant à ses hanches, il lui imposait une levrette rapide. Étant de ses hommes peu enclins à écouter le corps de femmes, Sir Francis Dashwood lui enfonçait son membre le plus fort possible. Reprit par son penchant naturel, il se retira brusquement prêt à lui prendre le séant. Rose se libéra en se redressant d’un coup. Se retournant, elle vit les yeux de l’homme devenir sombres de colère.

— Ceci, Monsieur, ne fait pas partie de nos engagements !

— Laissez-moi vous montrer toutes les qualités d’un mâle, ensuite vous pourrez demander grâce !

Rose ne put s’empêcher de rire, ce qui n’eut pour effet que de l’énerver davantage.

— Rose, un jour ou l’autre, nous serons unies par un coït anal, et à cet instant, croyez bien que vous y trouverez votre compte, bien plus qu’avec ce Taylor Abberline de pacotille !

— Dans une autre vie !

 

Le fiacre attendait dehors à deux pas de l’entrée. Des chevaux noirs en composaient l’attelage. Sir Francis Dashwood proposa une main ferme, aidant les trois jeunes femmes à grimper dans ce carrosse noir corbeau, qui était à cent lieues d’être celui d’un conte de fées. L’intérieur, capitonné de velours rouge sang, était confortable. Rose, Samantha et Amélia ne pipaient mot, car il faut bien avouer que l’attitude de ce sodomite notoire, les avaient quelque peu refroidit leur ardeur.

— Ce soir, vous allez entrer dans le Saint des Saints, là où les grands Hommes se réunissent pour partager boissons et femmes. Vous comprendrez alors que la toute-puissance masculine coule à travers leur verge ! Et qu’aucunes femelles, aussi prudes soient-elles ne pourraient résister au plaisir de jouir pour eux !

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Bacchanale


 

À West Wycombe, à l’entrée des caves creusées dans la craie, des flambeaux éclairaient une allée de gravier qui crissait sous les semelles. Leurs flammes dansantes, faisaient vivre les ombres sur les murs de pierre couverts de lierre et de mousse qui encadraient la façade gothique qui évoquait la nef d’une église médiévale. Des fiacres et des cabriolets, se suivant de près, déposaient leurs voyageurs discrets.

Des demi-mondaines, accompagnées d’homme soigné en leurs gestes et allures, avançaient en se dandinant en direction de la porte voûtée. Ces Lords fortunés subvenaient aux besoins de leur épouse légitime et de leur maîtresse, réinventant de fait, une forme de bigamie. Ce “Grand Londres” nébuleux, cachait derrière les bonnes manières, la culture, la respectabilité et les titres de noblesse, une conception amorale des prostituées et des courtisanes, en les considérants comme des respectables à leur besoin de sexe bestial orgiaque. Lady Isabella Thomas Comtesse de Whitehall et Lady Emily Tremblay Comtesse de Sussex, vêtues toute deux de mousseline transparente noire de geai à liseré d’or, l’étoffe laissait entrevoir leur nudité. La brise fraîche tendait leurs seins et collait le tissu sur leur corps. Rose, Samantha et Amélia descendirent du fiacre. Tout n’était que cigare, masque, toge et volupté, dans une débauche d’alcool et de sexe exacerbé. Sir Francis Dashwood les invita à le suivre.

 

L’entrée ouvrait sur un tunnel qui descendait en pente douce. Dans l’air moite, des bougies brillaient dans de petites alcôves percées dans les murs. Ce monde souterrain, jonché de gros morceaux de craie, continuait à les entraîner toujours plus profondément. La température augmentait, Rose sentait sa toge blanche coller à sa peau. Tout le long du couloir taillé, des ouvertures donnaient sur des chambres. Amélia se risqua à jeter un coup d’oeil, il y avait là un simple fauteuil de prière à tissu rayé, qui faisait face à une petite estrade. Dashwood revint en arrière et la tira fermement par le bras. Étonnée, elle eut à son encontre un regard interrogateur. L’homme répondit d’un sourire narquois.

Une immense caverne, transformée en une salle de banquet, s’ouvrait devant elles. Au milieu, une table scintillait avec son l’argenterie, sa verrerie de cristal. Un fumet de nourriture exquise se répandait dans l’air. Samantha se dirigea vers l’une des quatre petites cellules de moines percées dans un mur. Richement meublées. 12 apôtres en longues soutanes brunes arrivaient par un autre passage caché par une tenture de chine. Ils précédaient les rires et les conversations qui trouvaient écho dans ce labyrinthe de couloirs. Dashwood avait disparu. Des jeunes premiers, des femmes du monde, des Lords et leur fils, et des nonnes aristocrates portant des masques ornés, arrivaient. Et déjà des couples se formaient. Sir Francis réapparut avec un livre à couverture de cuir. Habillé d’une robe rouge bordurée de fourrure blanche, il semblait plus corpulent qu’à l’habitude. Il se plaça au centre de ses apôtres face à la foule excitée et commença sa lecture.

— Entre ses cuisses, je passais ma main pour la caresser et lui introduire mes doigts. Rapidement, je lui fis comprendre qu’elle devait introduire mon sexe dans sa bouche pour me donner du plaisir. J’abandonnais mon gland à sa langue douce, chaude et humide. Ses lèvres parcouraient ma verge dure et plus elle accentuait le geste plus mon envie de la prendre se faisait pressant. Je la forçais à se coucher sur le dos, et rapidement ma tête se retrouvait entre ses jambes. Je la léchais en lui mordillant les lèvres et en introduisant ma langue dans son vagin. Je remontais de son pubis à son cou pour finalement m’introduire en elle. Je sentais son velours humide autour de ma verge ce qui m’excitait davantage. La prenant violemment, mes coups de reins lui arrachaient des soupirs, et plus elle sentait mon phallus entrer profondément et plus ses respirations devenaient haletantes. Ressortant, je me masturbais au-dessus de son visage, et ma semence se répandit sur elle.

Sir Francis Dashwood marqua une pause dans son récit pour observer l’assemblée bouche bée. Des mains baladeuses s’attardaient déjà sur et entre des fesses bien rondes, des tétons étaient mordillés, et des verges pointaient sous les pantalons. Il ajouta.

— Voici le premier verset de votre nouvelle bible !

Il ferma le livre et le souleva vers le ciel sous les acclamations et les applaudissements.

 

Une demi-mondaine vêtue d’une toge en mousseline transparente s’activait pour abreuver les hôtes de Dashwood désireux de prendre du bon temps. Amélia fut approchée par un jeune premier au visage angélique vêtu d’une perruque poudrée et de vêtements de satins jaunes. Elle le fixait de ses yeux de biche, aguicheuse et malicieuse. Il l’entraîna à sa suite dans l’une des chambres.

Elle retira sa toge qui glissa le long de sa peau, et dévoila ainsi son corps et ses larges hanches. Ne lui restaient que ses bas de soie blancs et une culotte de dentelle qui marquait délicatement ses lèvres. Le jeune premier ne pouvait détacher son regard du fruit si longtemps convoité. Ses seins en forme de poire pointaient dans sa direction, ne sachant se contenir, il se sentait excité. Amélia, nullement impressionnée se leva et vint à lui. Elle le sera contre elle. Son corps parfumé à la fleur d’oranger le tentait. Il lui embrassa le ventre.

Lui saisissant les mains, elle les plaqua sur ses fesses bien rondes. Instinctivement, il les caressa, toujours avec cet instinct de plaisir charnel. Ses doigts exploraient ce corps, il la sentait se crisper et se détendre au rythme de son passage sur ses zones érogènes. Amelia se mit à genou et prit son sexe dans sa bouche, la douce chaleur de sa langue humide lui faisait plaisir. Son va-et-vient le tendait de plus en plus. Le jeune premier sentait sa salive lui couler sur la verge, il s’abandonna à cette bouche experte. Ouvrant les yeux, il regarda cette chevelure blonde monter et descendre. Il sentit monter la pression. Ses lèvres, sa langue, sa bouche, sentaient le sexe se contracter de plus en plus, elle accéléra le mouvement en appliquant une succion plus forte. Il expulsa un premier jet chaud et doux, Amélia attisée en voulait plus, augmentant encore la cadence, elle le sentit se répandre en elle, pas une petite gorgée, mais un flot de vague successive.

 

Rose se retrouva rapidement débordée par les désirs orgiaques de Sir Francis Dashwood. Il la serait contre lui, et elle sentait sa verge se durcir tout contre sa cuisse. Se refusant à ses avances, elle se devait de prendre une décision, soit ce soir de son plein gré avec une forme de délicatesse, bien que Dashwood s’en trouvait dépourvue en matière sexuelle, soit ce soir violemment et il lui ferait payer le prix de sa désinvolture. Ne voulant pas s’abandonner aux caresses indélicates de ce pervers sodomite, Rose décida de prendre les devants pour ne pas être son jouet. Elle l’attira vers une alcôve à large lit. Sir Dashwood s’allongea sur le dos en relevant sa robe rouge bordurée de fourrure blanche. S’effeuillant sensuellement, elle laissait entrevoir ses bas, elle déboutonna sa toge blanche de vierge pure qui glissa jusqu’à ses pieds dévoilant ses bas de soie. Se retournant, elle se baissa en avant pour lui monter ses fesses bien rebondies, lui offrant sa croupe pour que l’homme puisse profiter du spectacle de son séant. Il attrapa son sexe en érection et commença à se masturber.

Rose, nullement intimidée par la verge de Dashwood, s’approcha de lui comme une tigresse, embrassa le membre du bout des lèvres, et commença à remonter vers son torse ne souhaitant pas s’attarder à cet endroit. Frustré, il mit ses mains sur le haut de son crâne pour la faire redescendre, il n’était pas contre une petite fellation, elle comprit que la lutte serait veine, et se résignant à prendre le pénis dans sa bouche pour le sucer sans envie. Elle sentait que la tension de sa langue sur le phallus déclenchait chez Dashwood une envie rapide de déverser son sperme en elle, à cette pensée, son élan fut stoppé net, relâchant la pression Rose sortit le sexe plein de bave et le laissa tomber. Se redressant et s’étirant vers le haut du lit, elle lui colla ses seins contre le visage, des mains avides les saisirent aussi sec pour les malaxer avec plaisir, une langue venait titiller ses tétons aussi raides que par grand froid, l’euphorie sexuelle montait en elle malgré le dégoût que lui évoquait cet homme.

Rose, malgré son instinct, se força à passer à califourchon, saisissant le sexe d’une dureté exceptionnel, elle l’introduisait. À son étonnement, les vas-et-viens de ses hanches provoquaient une érection encore plus forte. Consciente que Dashwood ne souhaitait que l’avilir en se répandant en elle, Rose se devait de ne pas terminer l’acte. Il commençait à se crisper, elle bascula sur le côté, expulsant le sexe excité, la demoiselle se redressa pour voir la verge expulser son flot de semence. Sir Francis se retourna vers elle, avec ses yeux fielleux. Énervé, il tentait de la convaincre.

— De l’or contre ma semence dans votre corps !

— Jamais ! Nous en avons déjà bien trop fait !

Dashwood, verge pendante, se leva avec un sourire inquiétant.

— Vous comprendrez sous peu qu’il ne fallait pas me repousser ! Il disparut par l’entrée de l’alcôve. Rose, assise au bord du lit, sentait que la situation prenait un tour inattendu, qui lui échappait quelque peu. Un homme, visage encapuchonné, pénétra dans la chambre suivie de près par Dashwood.

La saisissant de toutes ses forces l’homme l’empêchait de bouger. La demoiselle les regardait avec de la haine.

— Ma chère Rose, je peux vous affirmer sans me tromper que vous me donnerez pleine satisfaction !

Le sans nom sortit une lame de sous sa robe de bure et la posa sur une commode, il retira son vêtement, et comprit que lui aussi avait des envies orgiaques à satisfaire, sa verge ne la trompait pas.

Dashwood s’allongea à nouveau sur le dos, la forçant à venir sur lui. Sa verge reprenait de la vigueur et d’un geste rapide, il lui glissa son sexe, Rose attendait sans bouger, elle sentit l’homme derrière elle. Une main indélicate lui caressait les fesses en lui mettant des claques. Il frottait son membre contre sa peau, la demoiselle l’entendit se cracher dans les mains. Elle ne pouvait plus avoir de doute sur sa situation, lui écartant les fesses, il joua un moment avec son anus, sa révulsion fût totale quand il la pénétra de force.

Les motivant à terminer au plus vite Rose feignait le désir pas des gémissements, plus les sons sortaient de sa gorge plus ils accéléraient leur besogne, sentant Sir Dashwood se crisper, son éjaculation fut puissante. La verge fut rapidement gagnée de mollesse et glissa lamentablement hors de son vagin.

L’homme ne semblait pas vouloir en terminer. Il la chevauchait depuis plusieurs minutes et Rose ne sentait pas ce moment ou le sperme arrive, cet instant où la verge se contracte pour expulser sa semence. La demoiselle ne voulait qu’une chose, rentrer au Horse pour se laver et retirer de son corps l’impureté des hommes, mais au fond la situation l’excitait. Rose accéléra la cadence de ses reins, l’homme poussa un son rauque.

 

Souillées toutes trois, elles montèrent dans un fiacre au petit matin. La campagne anglaise s’habillait d’une brume délicate qui cachait la laideur du monde. Rose regardait par la fenêtre, et rapidement un lourd sommeil la gagna. Samantha et Amélia riaient de bon coeur et secouaient les bourses bien pleines. Bientôt le cahoteux chemin de terre, laissait place aux pavés grisâtres, les sabots martelaient le sol dans un bruit métallique qui résonnait contre les murs. L’hippomobile stoppa devant le Horse.

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